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Le Japon et ses 125 millions d’habitants représentent un marché de 1,2 million de dollars par année pour le Groupe Leclerc. Un marché exigeant et fascinant qui accueille les biscuits à l’érable de Leclerc comme un produit haut de gamme. Un cadeau qu’on aime offrir en toute occasion.

La feuille d’érable, un produit exotique

Quand on connaît un peu le Japon, on sait que les échanges de cadeaux y sont plus fréquents que dans le reste du monde et qu’il s’agit d’une coutume bien ancrée. Et c’est dans la catégorie des produits de luxe que logent les biscuits feuille d’érable de Leclerc. Offerts en différentes occasions, ils sont un cadeau très apprécié des Japonais qui sont friands du sirop d’érable. La feuille d’érable Tradition 1905, produite par Leclerc au Canada, est exportée telle quelle en territoire nippon avec son emballage original, légèrement modifié — la liste des ingrédients est imprimée en japonais sur le côté de la boîte. « Les Japonais aiment que l’emballage soit canadien, c’est un produit d’importation pour eux et c’est important de le montrer », selon Julie Therrien, directrice des exportations du Groupe Leclerc qui est basée à Vancouver.


Un produit haut de gamme

Leclerc ne fait pas que vendre les feuilles d’érable au Japon. « En tout, une dizaine de produits Leclerc y sont présentement exportés », selon Julie Therrien. « Nous produisons des biscuits feuille d’érable pour une chaîne de magasins à rayons haut de gamme qui les vend sous leur marque maison », explique-t-elle. Même s’il s’agit d’une marque privée dans ce cas-ci, le look « canadien » est tout de même très important. Les Japonais misent beaucoup sur le contenant. « La présentation est aussi importante que le produit », souligne Julie Therrien. « C’est un peuple qui voyage beaucoup et qui rapporte toutes les tendances dans leur pays, mais qui les “japonisent” avant de les remettre en marché. » C’est le cas de la barre de chocolat Kit Kat, considérée comme un produit de luxe et qui est offert en de nombreuses saveurs sur le marché japonais. « Le Japon, c’est comme notre monde recréé dans leur monde », commente Madame Therrien.


Des standards de qualité élevés

Les exigences auprès des exportateurs comme Leclerc sont très élevées au Japon. Julie Therrien explique que «  pour faire approuver un produit par le gouvernement, les questions sont plus approfondies [que dans d’autres pays] et certains ingrédients peuvent être refusés ou taxés ». C’est le cas du riz contenu dans les barres granolas d’une marque privée produite par Leclerc à son usine du Tennessee, « on utilise un riz spécifique pour ce produit distribué par le client au Japon » mentionne Madame Therrien.

En tout, une dizaine de produits dont les feuilles d’érable, cinq autres variétés de biscuits Célébration et les biscuits de marque Choco, en plus des marques privées fabriquées par Leclerc sont exportées au Japon. Des produits d’importation recherchés qui plaisent aux consommateurs et qui répondent aux plus hauts standards de ce marché difficile à percer.

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